decrochage-scolaire-203x135.jpg La lutte contre le décrochage scolaire a été érigée en "grande cause régionale" vendredi 30 septembre par le conseil régional d'Ile-de-France, donnant lieu à une passe d'armes sur la politique gouvernementale d'éducation.


 

 

 

"Nous n'attendrons pas que la droite ait cassé le service public de l'Education pour agir", a affirmé en séance le président du groupe socialiste, Guillaume Balas, se référant aux 80.000 postes d'enseignants, supprimés au cours de la mandature 2007–2012 et à la mobilisation de mardi dernier.


La délibération a été adoptée par l'ensemble de la majorité (PS, EELV, FDG, MRC, FDG et A, PRG-MUP) votant pour, l'opposition Majorité présidentielle et le Nouveau Centre s'est s'abstenue.


A lire l'intervention de Céline Malaisé, Conseillère régionale Front de gauche ( PCF, GA, AC)


Décidément l'UMP ne varie pas son discours tant en Conseil municipal que régional.

 

En juin,  le conseiller municipal d'opposition F.Durovray n'a pas soutenu la motion présentée par la majorité contre la suppression des postes et la fermeture de classes estimant que les termes de la motion étaient

" inutilement violents".


A la région, l'opposition dont il est membre évoque un "rapport agressif" pour justifier son abstention au vote de la délibération sur la lutte contre le décrochage scolaire.


De vains prétextes pour masquer leur adhésion à la politique gouvernementale de casse du service public d'éducation. C'est bien elle qui est agressive et violente!