Georges Papandreou et sa majorité parlementaire viennent de voter le nouveau plan d'austérité exigé par l'union européenne et le FMI.


Taxer les précaires et les travailleurs pauvres, baisser les pensions de retraites et les prestations sociales, brader les entreprises publiques et baisser les impôts des riches, voilà les mesures diaboliques validées par le parlement.


Comme si cette trahison des aspirations populaires et ce déni de démocratie ne suffisaient pas, voilà maintenant une répression violente qui s'abat sur tout un peuple qui manifeste contre l'inacceptable.


Le gouvernement grec doit cesser de punir son peuple. Le PCF condamne fermement ces violences policières et soutient les manifestants qui, décidément, ont bien raison d'exiger une démocratie réelle et la maitrise populaire de l'argent.